Jésus est acclamé par la foule qui lui dit :
« nous t’aimons, Jésus, nous sommes avec toi, nous aimons ton message, tu
es notre héros… »
MOI, qu’est-ce que j’aurais dit à Jésus si j’avais été là ?
Avec un cœur miséricordieux, je lui avoue mon amour, ma
confiance, ma gratitude….
Le Jeudi saint
:
Jésus rassemble pour une dernière fois son équipe autour
d’un repas mémorable. Après leur avoir lavé les pieds en signe de service, Il
leur dit : « vous continuerez ce que je vous ai enseigné et ce que
j’ai fait au milieu de vous, en mémoire de moi. »
MOI, serviteur miséricordieux, vers qui irai-je, aujourd’hui,
pour faire comme Jésus ?
Le
Vendredi saint :
C’est la déprime
totale pour Jésus, pour ses Apôtres, ses amis, pour la foule qui lentement
s’écarte, s’en va loin de sa souffrance…Un procès bâclé, une condamnation
injuste, la croix des bandits…
MOI, je veux aller vers le Père miséricordieux et lui demander
pardon de ne pas avoir défendu quelqu’un qui était intimidé.
Le
Samedi saint :
Le grand Silence ! Qu’avons-nous fait, se disent les amis
de Jésus ? Nous ne l’avons pas défendu, même pas accompagné dans sa passion. Il
était jeune, Il est parti trop tôt. Quel avenir aura son message ?
MOI, comment vais-je manifester ma tendresse à Jésus,
aujourd’hui ?
Le
Dimanche de Pâques :
Jésus n’est plus au tombeau…Il est disparu ? Mais des
femmes disent l’avoir vu. C’était bien Lui. Il n’est donc pas mort ? Il est
vivant ? Si la mort de Jésus n’est pas la fin de tout, pour nous, l’horizon n’est plus le même. Ça change toute
la perspective !
MOI, aujourd’hui, je crie ma joie d’être en vie, ma joie de
croire, dans une courte prière.
Je me laisse émouvoir par l’Amour miséricordieux du Père qui
« relève » son fils de la mort.